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Arlette 

 Saheb
Niedoba

J’écoute chanter en moi…
les mots qui disent qui je suis
et le chemin que j’ai suivi.
Je laisse sourdre en moi…
tous ces mots qui se bousculent,
se précipitent et comme des bulles…
viennent crever à la surface de mon silence.
Ils parlent de moi, jaillis du fond de mon inconscient.
Je les écoute conter ma vie et mon histoire…
mes peines et mes joies…
tous ces mots qui parlent de moi…

Arlette Saheb Niedoba est sculpteure, joaillière et peintre. Elle a mené de front une double carrière dans l’enseignement et en art. Née en Égypte, elle vit au Canada depuis 1963.

Elle occupe divers postes dans l’enseignement avant d’entrer, en 1988, au ministère de l’Éducation du Québec, puis à la Télévision Française Internationale TV5, Québec Canada jusqu’en 1999 où elle assume la direction des réseaux éducatifs et culturels dans les Amériques. Durant plus de dix ans, elle a siégé au Conseil d’administration du Musée des Maîtres et Artisans du Québec. En 2010, elle conçoit Le Guide de Préparation au Test de Français International, avec un CD audio, encore d’actualité.

Formation riche et diversifiée.

  • Beaux-Arts : Institut Leonardo Da Vinci (Le Caire, 1959 à 1963)

  • Baccalauréat ès arts : Collège Sainte-Marie (Montréal, 1966)

  • Maîtrise : Université McGill (1969)

  • Doctorat : en études françaises Université de Montréal (1978) – Thèse en littérature québécoise

  • Cours de MBA, études en administration et docimologie (1985 à 1987)

  • Joaillerie: Le Centre Saydie Bronfman sous la direction de Paolo Vena

  • Sculpture: l’Institut des Beaux-Arts de Montréal (1993 –2001) sous la direction de Tino Petronzio

  • Gemmologie 1 et 2: École de Gemmologie de Montréal (1999)

  • Dans les années 2000, elle s’initie à la technique du vitrail avec le professeur Éric Lebeau et au travail de l’icône, sous la direction de Svetla Velikova.

Arlette ne cesse de se perfectionner et d’expérimenter divers médias: cours en joaillerie créative, en vitrail et en peinture. Elle refuse de cantonner son art à une forme unique d’expression, fascinée autant par la pureté des lignes et des formes que par le jeu de couleurs, de transparence et de lumière. Cette passion se concrétise par des peintures à l’acrylique, des vitraux, des peintures sur soie, etc. En 1972, elle touche au bois et à la pierre mais opte pour la glaise et la cire perdue. Bien qu’elle utilise divers médias: marbre, granite, améthyste, pierre à savon, bois, albâtre, etc., combinant parfois plusieurs de ces matériaux, elle privilégie le bronze.

En 1993, elle donne le jour à une série de sculptures en bronze. Elle accompagne ses œuvres de textes poétiques. En 1995-1996, elle entreprend des sculptures grandeur nature et exécute le buste du Père Émile Legault qui, depuis l'an 200, est exposé à l’entrée du théâtre Émile Legault à Montréal, porte voisine du Musée «Les Maîtres et Artisans du Québec». Sur la liste des donateurs figure le nom de «Patrimoine Canada».

Elle s’est fait connaître lors de multiples expositions en groupe et en solo ainsi que dans des édifices publics, en galeries et dans divers bureaux de chefs d’entreprise et de consultants en ingénierie. Plusieurs de ses œuvres ont été mises en nomination pour le  «Prix du Public».

Au Québec, elle expose, entre autres, au Ministère de l’Éducation (édifice Marie Guyart), au Centre Saydie Bronfman, à l’Institut des Beaux-Arts de Montréal, au Centre Culturel de Pierrefonds, au Centre de la Nature à Laval, à Rencontre VI (Saint-Jean-sur-Richelieu), à la galerie Richelieu, au Studio 261 et à l’hôtel Ritz-Carlton. Ses sculptures et ses peintures se retrouvent également en France, en Allemagne, en Suisse, au Canada et aux États-Unis.

Entre 1995 et 2017, elle est interviewée à la radio. La Revue Magazin’Art lui consacre quatre reportages. En juin 1996, le poste TVA met en évidence ses sculptures en bronze exposées à la Galerie Richelieu et dans le segment télévisé appelé Local Hero, TVA présente ses sculptures comme « valant leur pesant d’or » et invite le public à aller les voir. 

Le millénaire s’ouvre pour elle sur une exposition au Consulat d’Égypte à Montréal. De plus la Chambre de Commerce du Montréal Métropolitain l’a retenue parmi les femmes mises à l’honneur pour l’an 2000. En mai de la même année, elle expose en solo ses peintures sur soie. Dès ses débuts, elle expose à maintes reprises, dans des endroits bien en vue tel que rue Sherbrooke, chez Laoun Opticien, porte voisine du Musée des Beaux-Arts de Montréal.

En mars et avril 2017,  le Musée « Les Maîtres et Artisans du Québec » présente en une exposition majeure, les différentes facettes de son talent, particulièrement ses œuvres en bronze, notamment la plus récente Liberté .

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